La séance d'aujourd'hui portera sur quelques paysages aquatiques de Camargue.
Mon appareil photo, bien que montrant quelques signe de mauvaise volontés dans certains moment critiques, est tout de même capable de donner de très bon résultats. Des résultats souvent involontaire de ma part comme de la sienne. Toujours est il que c'est bougrement joli, ce halo vert et bleu cerclant un soleil jaunes.
Un plage et de l'eau, classique. Mais là, il y avais de l'eau des deux côtés. Et en plus d'innombrables tronc usés par les marées se dressaient tout droit dans le sable, pareil à des sentinelles pétrifiés (il faut que je réfléchisse à un carrière de poète).
Cette photo a été prise sur une petite jetée de pierre. La vue y était très jolie, les vagues s'écrasaient sur les rochers dans le soleil couchant. Seulement, la mer semblait en avoir après moi. Sitôt que je mis en place au bord de l'eau pour une vue rasante de la mer et du soleil, elle me fit comprendre d'une manière assez humide qu'elle n'appréciais pas ma proximité. Alors, bravant l'aqueux courroux, je décidais d'immortaliser quelque bribes de cet élan fluide, ce jaillissement liquide que chaque possesseur d'appareil électronique onéreux à appris à redouter. Je fus victorieux, la mer n'ayant réussi à m'assener que quelque éclaboussures salée.
Cette photo m'a parue banale lors de la prise de vue. Pas plus réussie qu'une autre, pas non plus plus laide. A son visionnement (ça se dit, ça ?) je me suis rendu compte qu'en fait elle était superbe. Franchement, c'est une de celle que je préfère (je ne peux pas dire que j'en suis fier puisque je ne suis pas pour grand chose dans sa réussite).
Un plage et de l'eau, classique. Mais là, il y avais de l'eau des deux côtés. Et en plus d'innombrables tronc usés par les marées se dressaient tout droit dans le sable, pareil à des sentinelles pétrifiés (il faut que je réfléchisse à un carrière de poète).
Cette photo a été prise sur une petite jetée de pierre. La vue y était très jolie, les vagues s'écrasaient sur les rochers dans le soleil couchant. Seulement, la mer semblait en avoir après moi. Sitôt que je mis en place au bord de l'eau pour une vue rasante de la mer et du soleil, elle me fit comprendre d'une manière assez humide qu'elle n'appréciais pas ma proximité. Alors, bravant l'aqueux courroux, je décidais d'immortaliser quelque bribes de cet élan fluide, ce jaillissement liquide que chaque possesseur d'appareil électronique onéreux à appris à redouter. Je fus victorieux, la mer n'ayant réussi à m'assener que quelque éclaboussures salée.
Cette photo m'a parue banale lors de la prise de vue. Pas plus réussie qu'une autre, pas non plus plus laide. A son visionnement (ça se dit, ça ?) je me suis rendu compte qu'en fait elle était superbe. Franchement, c'est une de celle que je préfère (je ne peux pas dire que j'en suis fier puisque je ne suis pas pour grand chose dans sa réussite).
Je ne doute pas que ces quelques clichés vous ont donné une envie folle de déménager en Camargue. Ce qui est loin d'être une mauvaise idée. En plus de très beaux paysage, le pays abrite un nombre d'oiseau hallucinant en hiver, ce qui peut rendre n'importe quel endroit formidablement attractif.
Je vous conseille en tout cas d'essayer d'y faire un tour.
A bientôt.
Je vous conseille en tout cas d'essayer d'y faire un tour.
A bientôt.
2 commentaires:
la 3eme est une magnifiscience absolue, une merveille de cliché sans precedent aucun parmi tout ce que j'ai déjà admiré. Sans rire.
(!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)
Quand on comprend ce que tu veux dire on se rend compte que c'est un compliment. Et un beau.
Merci beaucoup donc.
Enregistrer un commentaire