Sur ce, revenons-en à nos dromadaires.
Le désert c'est beau, c'est coloré, c'est tout plein de chose. Mais avant tout c'est mort. Un univers minéral gigantesque, presque dénué de la moindre trace de vie. Ce n'est pas un défaut en soi, mais il faut vraiment s'intéresser à la minéralogie pour se plaire durablement dans ce décors. Malheureusement ce n'est pas vraiment mon cas. Il me faut de la vie, du grouillant, du genre qui piaille dans tous les coins, qui vole, marche ou rampe, peu importe mais il m'en faut.
Alors aujourd'hui je vais vous présenter la quasi totalité des animaux que nous avons rencontré en une semaine de désert. J'exagère peu être un chouïa, c'est vrai ...
Alors aujourd'hui je vais vous présenter la quasi totalité des animaux que nous avons rencontré en une semaine de désert. J'exagère peu être un chouïa, c'est vrai ...
Un sympathique scarabée indolent. Ce n'est pas le même que celui rencontré précédemment sur ce blog. D'ailleurs c'est presque de la triche, celui là nous l'avons vu dans une palmeraie, c'est à dire un endroit avec de l'eau. Plus vraiment le désert, donc.
Les lézards sont probablement les animaux que nous avons observé le plus souvent. Diverses espèces se sont montrées à nous. Celui-ci attrapait joyeusement les mouche qui profitaient de mon ombre. Une sorte de service réciproque, en somme.
Ammomane isabelline (Ammomanes deserti, bien choisi comme nom, n'est ce pas).
La diversité chromatique des oiseaux de cette région avoisine le zéro. Marron, gris, ocre, beige, ... L'évolution est sans conteste très utile mais on peut lui reprocher un certain manque de fantaisie dans ce cas là.
A deux reprises nous avons aperçus de grands criquets volants. Celui-ci, obligeant, à bien voulu me laisser approcher pour prendre quelques photos. Il a quand même fini par s'envoler dans une dignité de bon aloi quand j'ai voulu lui photographier le gris des yeux. Qu'est ce que c'est farouche ces bêtes là.
Les lézards sont probablement les animaux que nous avons observé le plus souvent. Diverses espèces se sont montrées à nous. Celui-ci attrapait joyeusement les mouche qui profitaient de mon ombre. Une sorte de service réciproque, en somme.
Ammomane isabelline (Ammomanes deserti, bien choisi comme nom, n'est ce pas).
La diversité chromatique des oiseaux de cette région avoisine le zéro. Marron, gris, ocre, beige, ... L'évolution est sans conteste très utile mais on peut lui reprocher un certain manque de fantaisie dans ce cas là.
A deux reprises nous avons aperçus de grands criquets volants. Celui-ci, obligeant, à bien voulu me laisser approcher pour prendre quelques photos. Il a quand même fini par s'envoler dans une dignité de bon aloi quand j'ai voulu lui photographier le gris des yeux. Qu'est ce que c'est farouche ces bêtes là.
Un résumé succinct et lacunaire de la faune désertique. Il faut dire que tous n'étaient pas enclin à me laisser leur prendre le portrait, allez savoir pourquoi.
3 commentaires:
J'aime beaucoup la douceur et l'harmonie des teintes !
et j'adooooore l'histoire des termites!
:-)
Très bel article, tu aurais même put le mettre pour le jour brun à mon avis. Sinon je voulais juste savoir la taille du Grand Criquet Volant?
Mad =>L'harmonie des teintes, c'est une belle façon de dire que tout est de la même couleur.
Merci pour les compliments !
Nicolas => J'avais pensé faire le jour ocre, mais j'ai préféré ne le point faire pour garder les photos en prévisions de tels articles à thème Algérie.
Quand au criquet, il faisait pas loin des 15 centimètres de long.
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